Dodo la veille : Même hôtel que l'autre fois, Bertha.
Alors qu'on s'aprête finalement à quitter le Honduras, pourquoi pas un petit hommage aux petites beautés du pays. Nous y sommes entrés à un mauvais 'timing' alors que nous étions sans grande attente mais à la recherche d'un endroit où on se sentirait bien pour s'y installer un bout. Les 2 semaines que j'avais en tête se sont étirées sur 4 à force de chercher à être bien. Eh oui, vous pouvez lire entre les lignes que ça n'a pas été facile ni la meilleure partie du voyage jusqu'à maintenant. Mais c'est pourquoi ce blogue, un petit clin d'oeil aux endroits qui nous ont le plus marqués, même si on n'a pas la prétention d'avoir tout vu ou bien vu. La beauté demeurt un filtre influencé par notre état d'esprit.
Miami
On dit Miami parce que c'est là qu'on a dormi, mais le coup de coeur se partage certainement avec les autres villages garifunas traversées pour se rendre au bout d'un chemin de 6km en sable de plage. À Miami, on stationne à l'entrée et le reste se fait à pied parce que le sable devient trop mou. Dans ce village de 100 personnes entouré d'eau ('lagoon' d'un côté, océan de l'autre, et la rivière qui forme la pointe) et où les gens vivent dans des huttes tradionnelles, rien d'autre à faire que de profiter du moment jusqu'à ce que les 'sandflies' se mettent de la partie.
La baie de Trujillo
Qu'est-ce qu'il y a là-bas, je ne sais pas, mais il est certain qu'il n'y a pas d'auberge-backpacker. C'est la ville au bout de la route, alors ça a l'ambiance d'une ville au bout de la route avec un petit marché et tous les services. C'est beau aussi avec les petits attraits, la montagne et la plus belle plage de la côte nord selon le Rough Guide. L'eau était bonne sur toute la longueur de la plage et on l'avait aussi pour nous. Comme cadeau d'au-revoir, on a eu droit à un spectacle de tam-tam garifuna juste en face de notre hôtel !
Les montagnes au sud de Trujillo
On voit toujours les montagnes, elles sont là, mais pas toujours belles à causes de la chaleur, la lumiére et les nuages qu'elles arrêtent. On ne peut bien les voir la plupart du temps. Sauf que quand on a tenté de se rendre de Trujillo à la capitale (Tegucigalpa) par la route de terre, ce fût le 'high' de la journée que de voir toutes les ُteintes de vert sur les monts autant que dans les vallées avec un fond de ciel bleu. En plus, nous avons eu la chance de les voir deux fois puisqu'on a tourné de bord.
Avant de terminer ce blogue, je veux quand même mentionné le lac Yojoa, un beau grand lac bordés de montagnes, tout pour être photogénique. Je peux également reciter les chutes Pulhapanzak qui ne sont pas à dénigrées en tant que 'Merveilles du Honduras'.
En plus, le Honduras a gagné la réputation, pour nous, d'avoir les plus belles routes jusqu'à maintenant. C'est que un, on peut rouler à une certaine vitesse en évitant tout de même les trous, et deux, la route qui relie les deux grandes villes est digne dêtre qualifiées de 'route nationale'
Demain, le Nicaragua !
saloute
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PS. Je me souviens (-tu)...
lundi 20 février 2012
La beauté au Honduras
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